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Editions Cépadues  |  SKU : 2097

Une histoire des hélicoptères légers en France - Bernard Certain

€16,00

Depuis ma naissance, au 41 boulevard Jean Jaurès à Carcassonne, à côté du clocher de l’église Saint-Vincent, j’ai vu les Stamps virevolter au sommet de leurs trajectoires, à la verticale de la piste de Salvaza. Plus tard, alors que j’avais à peu près dix ans, ma mère présenta à ses trois fils, d’après un livre qu’elle s’était procuré, les études après le Baccalauréat. Sup-Aéro m’enchanta, avec sa soufflerie et ses multiples travaux pratiques. Je m’exclame : c’est cela que je veux faire, ce qui fit rire toute la famille. En classe prépa à Louis le Grand, à Paris, c’est toujours le concours commun Mines-Pont qui m’attire, car il contient aussi l’école Supaéro. J’y rentre quatrième, en 1966. En deuxième année, nous travaillons sur le projet Concorde ; je m’y investis beaucoup. Mais l’ingénieur de Toulouse, qui corrige mon projet, ne peut m’expliquer pourquoi la solution que je propose, pour améliorer la mauvaise qualité de l’aile mach 2 aux basses vitesses, ne marche pas. N’étant pas compris, je décide de ne pas aller travailler à Toulouse. J’irai, donc, à Marignane, sur les hélicoptères, où j’atterris en octobre 1968, sans aucune connaissance de ces merveilleuses machines. J’y resterai, jusqu’au début 2015. C’est cette histoire que raconte ce livre.

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Une histoire des hélicoptères légers en France - Bernard Certain - LA BOUTIQUE DU PILOTE
Editions Cépadues

Une histoire des hélicoptères légers en France - Bernard Certain

€16,00

Depuis ma naissance, au 41 boulevard Jean Jaurès à Carcassonne, à côté du clocher de l’église Saint-Vincent, j’ai vu les Stamps virevolter au sommet de leurs trajectoires, à la verticale de la piste de Salvaza. Plus tard, alors que j’avais à peu près dix ans, ma mère présenta à ses trois fils, d’après un livre qu’elle s’était procuré, les études après le Baccalauréat. Sup-Aéro m’enchanta, avec sa soufflerie et ses multiples travaux pratiques. Je m’exclame : c’est cela que je veux faire, ce qui fit rire toute la famille. En classe prépa à Louis le Grand, à Paris, c’est toujours le concours commun Mines-Pont qui m’attire, car il contient aussi l’école Supaéro. J’y rentre quatrième, en 1966. En deuxième année, nous travaillons sur le projet Concorde ; je m’y investis beaucoup. Mais l’ingénieur de Toulouse, qui corrige mon projet, ne peut m’expliquer pourquoi la solution que je propose, pour améliorer la mauvaise qualité de l’aile mach 2 aux basses vitesses, ne marche pas. N’étant pas compris, je décide de ne pas aller travailler à Toulouse. J’irai, donc, à Marignane, sur les hélicoptères, où j’atterris en octobre 1968, sans aucune connaissance de ces merveilleuses machines. J’y resterai, jusqu’au début 2015. C’est cette histoire que raconte ce livre.

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